06 Avr Nouvel album de Frédéric LOISEAU et sortie au SUNSET, le vendredi 22 avril !
Après Smile enregistré en 2014, c’est une immense joie de vous faire découvrir mon nouvel opus « d’instant en instant » enregistré avec mes chers André Charlier (batterie) et Benoit Sourisse (orgue).
L’oiseau le chat et la souris se retrouvent avec une complicité singulière et un appétit pour la prise de risque au service d’une toute nouvelle musique. Les compositions, écrites sur mesure pour les musiciens, sont refondues au gré de la fantaisie de chacun et du collectif dans la spontanéité de « l’instant »
Le disque sort sur les plateformes et boutiques le 15 avril
+ lien VIDEO
Nous fêterons la sortie de l’album le Vendredi 22 avril au Sunset à 20h30 + lien reservation et code promo.
https://www.sunset-sunside.com/2022/4/artiste/1663/8152/
On en parle :
Original, tendre et plein d’esprit (et dans “esprit”, il y « intelligence » et « humour »). Franck Bergerot
Connivence, interaction, complicité symbiotique, pas de doute, la triple entente règne en maître tout au long de cet album très intime et spontané. Pascal Anquetil
D’instinct en instinct, voila la réussite que connaît l’entreprise menée avec beaucoup de grâce, de réserve ET de détermination dans l’ enregistrement baptisé « D’instant en instant » Alain Gerber
Poète de l’intime, Frédéric Loiseau, plongeant sa plume dans le creuset de l’improvisation, le compositeur imagine une architecture, là où ne pourrait subsister qu’une somme d’instants, aussi « décisifs » soient-ils. Discrètement, mais sûrement, l’instantané tutoie alors l’éternité. Arnaud Merlin
Poète de l’instant, Frédéric Loiseau est le héros de cet ouvrage avec le pouvoir de charme des « ferments de ce répertoire ». Il n’est certes pas question de rendre hommage au seul sommet du trio en question sans préciser que l’organiste Benoît Sourisse y apporte une quatrième voix dont l’art de siffler et l’éventail des timbres. L’ultime mise au point de ce monde délicieusement triangulaire est en fait le grand œuvre fluide d’André Charlier dont la succession d’actes d’orchestration ne saurait se réduire à une batterie et autres idiophones. Mais c’est à Frédéric Loiseau himself que je laisserai- emprunterai le trigone conclusif où surprise, mystère et swing « pour que la musique du Trio émerge D’instant en instant ». Philippe Carles